LUTZ DANIEL

« Le monde deThéo » est un court-métrage qui explore la vie d’un jeune adulte malade.  Théo est atteint d’un type d’autisme qui a toujours limité sa communication avec les autres et son intégration familiale.

Exaspéré par cette situation son père les a abandonnés. Sa mère se retrouve donc seule à élever Théo et son frère cadet. Elle s’emploie à lui donner une éducation adaptée et lui offre un suivi spécifique en  fonction de ses besoins. Toutefois son amour maternel fait de Theo un petit enfant. Il ne peut grandir dans ces conditions. Alors pour devenir l’adulte qu’il est, le jeune autiste se met à danser sur les conseils de son frère, son inséparable allié. Il invente dans des chorégraphies spontanées l’art de se faire comprendre et d’être accepté tel qu’il est. Théo découvre ainsi que le bonheur c’est d’être soi.

Philipe, un talentueux pianiste aveugle,  mène une vie solitaire dans une routine où ses autres sens sont amplifiés.

Dans ce court-métrage immersif, nous suivons le personnage principal à travers sa journée, découvrant comment il navigue dans un monde qui lui est invisible et où ses sens sont amplifiés Chaque note qu’il joue crée un monde visuel dans son esprit, et chaque son autour de lui est une pièce du puzzle de sa réalité. La musique va le mener à renouer avec son passé.

Dans les années 50, plongez dans l’énigmatique récit de « L’Ombre de l’Innocence ».

Après la déclaration de disparition de son époux par la jeune veuve Miss Stone, le détective Graham est chargé de démêler les fils de cette énigme. Au fur et à mesure de ses investigations, une compilation de pistes le conduit à porter une attention particulière à Miss Stone elle-même, qui semble dissimuler des secrets cruciaux liés à l’enquête. Entre mystères et révélations, « L’Ombre de l’Innocence » explore les profondeurs insoupçonnées de la vie de cette femme, dévoilant des vérités intrigantes et des mystères bien gardés.

Da Stargo Tora– “La couleur noire de mes yeux”

Définition poétique : Toutes les choses qui me rendent beaux. L’amour de soi même, nous accepter comme on est.

Ce projet de clip contemplatif, nommé “Da Stargo Tora”, est avant tout une ôde à l’affirmation de soi. Face à l’enfermement mental connu et ressenti par Julie, le personnage principal, sa volonté de vivre malgré tout l’emportera sur ses ombres intérieures.

Ce réveil est déclenché par une rencontre, un hasard, qui la pousse à sortir de son antre. Cette rencontre avec cet être solaire, Charlotte, fait rejaillir la lumière sur l’âme de Julie, la colore.

Au travers de cette contemplation, ce projet a pour but d’évoquer la beauté d’une libération mentale.

Lorsque les mots se révèlent insuffisants, c’est par le langage corporel que l’émotion prend son envol. L’amour, cette force dévorante, parfois indomptable, se manifeste en nous, tel un feu ardent qui consume et ravive à la fois.

Ce projet a été entrepris dans le but d’exprimer, à travers des chorégraphies improvisées, un large éventail de sentiments, notamment la passion, l’amour, ainsi que les nuances de la toxicité que peut revêtir une relation amoureuse, tout en explorant également l’ardeur d’une passion intense.